
Un mandat de L’OFFICE CANTONAL DE LA POPULATION, avec le soutien de la FONDATION HANS WILSDORF.
Le concours « l’Esprit d’escalier » invite les étudiant-e-s de la HEAD – Genève à conduire une réflexion artistique à partir du thème « Population, mouvements et migration » et ainsi à transformer la perception des espaces publics et de travail de l’OCP à travers le traitement des quatre cages d’escaliers. Axé sur les questions cruciales de culture et d’identité, de migrations et d’échanges que posent les activités de l’OCP à Genève et dans sa région, le projet associe, dans son lien à l’architecture et aux usages du lieu, une nécessaire dimension visuelle à une réflexion sociale et politique.
Un pré-jury, formé par des représentants du personnel de l’OCP s’est penché sur l’ensemble des seize projets présentés et en a retenu dix, ceux qui correspondaient le mieux à l’esprit de l’Office, à la typologie des bâtiments et au thème fixé. Le jury final, composé de représentants de l’OCP et de personnalités extérieures a désigné quatre projets lauréats :
Miasto — Meryl Schmalz et Robert Topulos (alias Bärltz)
Déplacement — Carolina Guillermet
Oiseaux migrateurs — Bastien Guillan, Lucien Mottet et Guillaume Zwaan
Panorama urbain — Anaïs Perez Wenger
Miasto — Meryl Schmalz et Robert Topulos (alias Bärltz)
Déplacement — Carolina Guillermet
Oiseaux migrateurs — Bastien Guillan, Lucien Mottet et Guillaume Zwaan
Panorama urbain — Anaïs Perez Wenger
Les autres projets:
De haut en bas et de gauche à droite: Tapisserie tropicale — Guillaume Fuchs et Nelly Haliti, Portraits mosaïque — Elise Viladent et Ainhoa Cayuso, A very serious individual form — Seda Yildiz, Narration abstraite — Christoffer Ellegaard
De haut en bas et de gauche à droite: Aux Iris — Suzanne Perrin, Flag — Océane Izard, Flux — Gustave Didelot, L'autre et l'ailleurs — Camille Silvain et Laurie Vannaz
De haut en bas et de gauche à droite: La ligne grise — Séverin Guelpa, Papier à fleurs de peau — Débora Alcaine, Terre inconnue — Sophie Ros et Aurélia Calo, Yes but not to all — Boutheyna Bouslama