Bénédicte Le Pimpec

Bénédicte le Pimpec (née en 1986, France, vit et travaille à Genève) est commissaire d’exposition. Elle a obtenu un DNSEP à l’école des Beaux-arts de Brest en 2009 ainsi qu’un master au sein du programme de recherche critique et curatorial de la HEAD – Genève en 2011.

En 2007, elle co-fonde Monstrare, structure qui œuvre pour la production et la diffusion de pratiques et réflexions artistiques, avec laquelle elle coordonne actuellement une résidence dans des grottes troglodytiques à Dampierre-sur-Loire (France).

Elle a notamment été curatrice ou co-curatrice des expositions « Le pastel est la couleur de la défaite », projet de recherche et d’exposition à partir de la collection du Fonds cantonal d’art contemporain de Genève (Broom social club, 2011, Genève); « REWORKS », exposition personnelle d’Alexis Guillier (Piano Nobile, 2011, Genève); « Le Principe Galápagos » (Palais de Tokyo, 2013, Paris), exposition évolutive regroupant une vingtaine d’artistes, objets, films ou performances sous forme d’apparitions dans les espaces du Palais de Tokyo et en dehors pendant trois mois ou encore récemment l’exposition collective « darker and darker grows the landscape (la possibilité d’une île) » (Le Commun, Bâtiment d’art contemporain, 2015, Genève).

Elle a également collaboré avec l’espace Piano Nobile à Genève, a été en charge de la production et de la coordination de la première Biennale de Romainville (Romainville, 2011-2012) et a travaillé pendant trois ans en tant qu’assistante au sein du programme « Information/fiction » de la HEAD – Genève.

Portés par la critique institutionnelle et les relations entre art et politique, ses champs de recherche se concentrent sur l’historiographie par les artistes. Elle mène sur ce sujet une étude sur le groupe d’artistes New-Yorkais REPOhistory.

Plus d’infos :

www.benedictelepimpec.com

www.monstrare.com